Articles de presse

La prévoyance individuelle représente une part importante de l’épargne en Suisse avec plus de 140 milliards de francs investis dans le 3e pilier A uniquement. Or, lorsqu’il s’agit de financer sa retraite, est-il préférable de s’assurer un revenu garanti ou de profiter des opportunités de rendement offertes, par exemple par les marchés financiers, mais livrées avec une prise de risque plus conséquente ?

Après deux années de crise liée à la pandémie et à la porte de la 6e vague, faut-il craindre de conséquences sur sa prévoyance ?

Plus personne aujourd’hui ne peut ignorer que le changement climatique constitue une menace importante pour la planète et pour l’économie mondiale. Chaque acteur économique a ainsi un rôle à jouer pour réduire cette menace, y compris les institutions et établissements de droit public.

À l’issue du printemps 2020 et des difficultés expérimentées en lien à la pandémie qui a frappé la Suisse comme le reste du monde, quels enseignements retenir et partager pour l’avenir, sous l’angle de la prévoyance ?

Aux Rentes Genevoises, Etablissement de prévoyance créé en 1849, on sait que pour être pérenne, il faut entretenir ses biens et préserver l’environnement. Dans cette perspective, l’Etablissement est passé à l’offre Electricité Vitale Vert pour alimenter les communs de ses immeubles.

En cette période de forte volatilité des marchés financiers, dans un contexte d’économie mondiale pratiquement à l’arrêt, quelle stratégie est appliquée par les Rentes Genevoises ?

GOUVERNER, C’EST PRÉVOIR" affirmait un journaliste et politicien parisien du 19e siècle. À la même époque, James Fazy (1794-1878), journaliste et politicien genevois, appliquait déjà ce principe avec génie.

La période des Fêtes est souvent propice à une réflexion sur sa prévoyance, pour deux raisons. La première est le rappel envoyé par sa Fondation de prévoyance pour compléter son apport sur sa prévoyance liée (3e pilier A), afin d’atteindre le plafond maximum autorisé.